Emilie BERDUCOU

Psychologue clinicienne / Psychothérapeute
Thérapeute en Intelligence Relationnelle®

L'Intelligence Relationnelle®
de François Ledoze

L’Intelligence Relationnelle® est un modèle neurobiologique développé par le Dr François Ledoze, neurologue et psychothérapeute, inspiré de l’IFS,  la Théorie Polyvagale, la Théorie de l’Attachement et l’apport des neurosciences. Cette approche permet de soigner un organe, le cerveau, pour traiter les difficultés psychiques que l’individu rencontre.

L’Intelligence Relationnelle® est une thérapie qui repose sur la dynamique relationnelle entre le patient et son thérapeute, ainsi que chez le patient lui-même, pour résoudre les conflits psychiques et les difficultés relationnelles de ce dernier. 

 

Cette méthode permet de traiter non seulement les traumatismes psychiques complexes, mais aussi les troubles de l’attachement qui leur sont très souvent associés et préexistants.

L’Intelligence Relationnelle® a été développé à partir des données des neurosciences récentes relatives à l’attachement et la prise en compte de la neuroplasticité dans le processus thérapeutique.

L’Intelligence Relationnelle® fournit un cadre théorique et pratique, qui permet de traiter toutes les problématiques en lien avec les troubles de l’attachement et du trauma complexe en s’appuyant à la fois sur les ressources internes du patient (l’autorégulation) et sur le lien thérapeutique avec l’accompagnant, grâce à l’engagement de ce dernier dans la relation (la corégulation).

L’objectif d’une thérapie en Intelligence Relationnelle® est de permettre à l’individu ou aux groupes humains de résoudre les conflits internes ou externes et d’accéder, en relation avec autrui, à un sentiment d’unité et de calme intérieurs, une vision éclaircie de son propre chemin de vie, à plus de ressources en terme de créativité devant les obstacles et de confiance devant les défis que la vie lui présente.

L’association entre le « cerveau du haut » (le monde des pensées) et le « cerveau du bas » (le système nerveux autonome ou SNA) dépend grandement de la qualité de l’attachement et de la sécurité relationnelle tout au long de la vie. En IR, le thérapeute constitue une figure d’attachement. L’engagement thérapeutique conscient va permettre à la personne de vivre une expérience correctrice dans le présent, d’un état dérégulé. La neuroplasticité du cerveau va permettre au cerveau de recouvrer ses capacités associatives.

La particularité du modèle IR est que nous avançons en douceur, en sécurité. Nous ne forçons rien, nous avançons au rythme de la personne, de son système. Tout comme un explorateur en montagne, la personne évolue, chemine doucement, en étant en lien en sécurité avec le thérapeute, vers ses zones d’ombre et ses blessures passées.

L’attention portée sur ce qui s’exprime dans le corps nous permet de nous ajuster en permanence pour permettre au SNA de se réguler et de vivre la sécurité.

 « Permettre à la personne de passer du mode « survie » au mode « sécurité ».

L’IR permet de s’ouvrir en confiance à la relation, à apprendre et prendre des risques mesurés dans la vie, faire des choix dans sa vie présente qui ne soient pas reliés à son passé.

L’IR est un modèle thérapeutique puissant qui permet d’opérer des transformations en profondeur durables :
– Guérir et se libérer définitivement des blessures du passé ;
– Déployer son Être profond et devenir soi-même ;
– Oser la vie et savourer la liberté retrouvée.

L'IFS (Internal Family System) ou Système Familial Intérieur

L’IFS est un outil psychothérapeutique qui a été modélisé aux États-Unis par Richard Schwartz dans les années 90.
Ce modèle s’appuie sur deux postulats :
– nous sommes composés de nombreuses sous-personnalités (parties) ;
– les reconnaître permet de créer un espace de guérison pour les comprendre et les aider à vivre plus harmonieusement.

Avec ce modèle, nous développons notre aptitude à accueillir avec curiosité et bienveillance ce qui nous habite, nos conflits intérieurs, nos réactions face aux autres, à la vie. C’est à la fois un modèle, une méthode et un art de vivre.

L’IFS est un outil thérapeutique qui amène à prendre conscience des différentes sous-personnalités qui nous animent. L’intention est de créer une relation de confiance entre l’Être (ou Self) de la personne et les différents aspects qui la composent. Un dialogue intérieur bienveillant peut ainsi s’installer. Il est alors possible de rencontrer des parts sensibles de soi qui portent des fardeaux (charges émotionnelles, croyances…) et les aider à se libérer. Le système intérieur évolue ainsi vers plus de coopération, d’apaisement et d’équilibre.

Dans l’IFS, tous les aspects de nous-même sont les bienvenus !

Chacun dispose d’un Self inaltérable, malgré les expériences de la vie, y compris les plus difficiles. Le Self est destiné à remplir le rôle du leader du système psychique de chaque personne.

« L’IFS permet de retrouver un sentiment d’unité et de paix intérieure et d’installer plus d’harmonie par une meilleure relation avec son Être profond. »

Les parties :

Les parties sont des sous-personnalités qui entrent en interaction les unes avec les autres suivant des schémas similaires aux schémas d’interactions entre personnes. Elles se manifestent de différentes façons : par des pensées, des émotions, des images, des sensations physiques, des souvenirs, …
Toutes les parties ont une intention positive à l’égard de la personne. Elles utilisent différentes stratégies pour accroître leur influence au sein du système intérieur. Elles développent un système complexe d’interactions entre elles.
Les parties deviennent « extrêmes » car elles sont chargées de « fardeaux » (ou de rôles forcés), c’est-à-dire un complexe d’émotions, de croyances et de souvenirs en lien avec l’expérience traumatique. Ces fardeaux ne sont pas l’essence de la partie et sont destinés à être déchargés. Il est possible d’aider les parties à se libérer de leurs fardeaux pour leur permettre de retrouver leur état naturel.

Les parties qui ont perdu confiance dans le Self, s’amalgament au Self ou tendent à s’identifier à lui en prenant l’ascendant sur lui, en ne lui laissant jouer dans le système qu’un rôle secondaire.

On distingue plusieurs parties :

  • Les exilés
    Ce sont des parts blessées, des parties jeunes qui ont souvent subi des traumatismes. Elles sont isolées du reste du système de façon à protéger la personne des émotions intenses, douloureuses, voire terrifiantes que ces parties éprouvent. Elles sont responsables des sentiments de fragilité et de vulnérabilité éprouvés par la personne.
  • Les protecteurs : les managers
    Ce sont les parties qui sont en charge de notre vie quotidienne ; elles sont pro-actives. Elles s’efforcent de contrôler les situations de la vie quotidienne ainsi que les relations, de façon à protéger la personne du fait d’être rejetée ou d’être de nouveau blessée. Elles sont là pour contrôler, évaluer, prendre soin des autres, intimider, poursuivre le succès sans relâche, …
  • Les protecteurs : les pompiers
    Ce sont les parties qui réagissent lorsque les exilés ont été activés ; elles sont réactives. Leur intervention a pour but d’éteindre le feu émotionnel. On retrouve par exemple certains comportements tels que : la consommation de tabac, d’alcool ou de substances psychoactives, les troubles des conduites alimentaires (anorexie et boulimie), les conduites sexuelles à risque, les jeux vidéo, les dépenses effrénées, l’automutilation, voire les tentatives de suicide. Leur but est identique à ceux des managers (contenir les exilés), mais leurs stratégies sont différentes.

Le Self :

Le Self existe à un niveau différent de celui des parties. L’affirmation que chacun dispose d’un Self constitue un point central du modèle IFS. Chaque individu dispose de façon distincte de ses parties, d’un Self doté de façon innée de qualités telles que la confiance, la compassion et l’acceptation sans jugement.

Les qualités du Self

la curiosité, le calme, la clarté, la compassion, la confiance,

la créativité, le courage et la connexion.

Nous disposons tous de ce Self, même si nombre d’entre nous n’en faisons pas spontanément l’expérience dans notre vie quotidienne. A partir du moment où une personne a accès à son Self, il est alors possible de commencer à aider les parties à se libérer de leurs rôles forcés et de leurs fardeaux.

Cette capacité à éprouver de la compassion, de la lucidité et une sagesse nouvelle vis-à-vis de son monde intérieur, aide à mieux aborder les difficultés.

Pour permettre à l’état de Self de se maintenir, il est nécessaire de guérir les parties blessées.

Le Self de chacun semble avoir la capacité à ressentir de l’empathie pour l’autre, de la même façon que les personnes travaillant de façon individuelle semblent en ressentir envers leurs propres parties.

Le Self leadership, selon le modèle IFS, est défini comme l’état dans lequel les parties donnent ou redonnent leur confiance au Self. L’impact du traumatisme sur le système intérieur a généré des relations figées entre parties chargées. Du fait du déchargement de l’exilé, les protecteurs acceptent de se défaire de leurs rôles forcés. Ces parties, précédemment engagées dans une relation de défiance vis-à-vis du Self, peuvent de nouveau, sur la base du constat que celui-ci peut assurer la sécurité du système, lui redonner leur confiance. Les qualités naturelles du Self se manifestent beaucoup plus dans la vie quotidienne de la personne.

La Théorie Polyvagale

« La Théorie Polyvagale, c’est la science qui permet de se sentir suffisamment en sécurité pour tomber amoureux de la vie et prendre le risque de vivre… » Deborah Dana

La Théorie Polyvagale (TPV), élaborée par Stephen Porges et traduite en application clinique par Deborah Dana, fournit une lecture neurobiologique de l’attachement et de ses troubles.

Nous venons au monde en étant conçus pour nous relier aux autres. Dès nos premiers instants de vie, nous nous engageons dans une quête qui durera toute notre existence : nous sentir en sécurité dans notre vie et dans notre relation aux autres.

Le système nerveux autonome est notre système de surveillance personnelle. Il fonctionne en permanence, en se demandant : « suis-je en sécurité ? ». Son but est de nous protéger en évaluant continuellement le danger, en écoutant à chaque instant ce qui se passe dans notre corps, dans notre environnement et dans notre relation aux autres. Cette surveillance se produit en profondeur, loin de la pensée et de notre contrôle conscient. Nous parlons bien de système nerveux autonome, c’est-à-dire que notre système nerveux autonome fonctionne indépendamment de notre conscience et de notre volonté ; il est automatique, inconscient. On parle de « cerveau du bas » (le « cerveau du haut » correspondant au champ de la conscience, au monde des pensées).

La neuroception, terme inventé par Stephen Porges, désigne l’activité de détection d’indices de sécurité ou de danger qu’exerce notre système nerveux autonome. Si notre neuroception détecte plus d’indices de danger que de sécurité, notre système nerveux autonome va immédiatement déclencher une réponse de survie : combattre ou fuir, ou si ce n’est pas possible, immobilisation, figement.

Or, cette détection des signaux de sécurité et de danger a une influence forte sur notre façon de vivre.

Le problème, c’est que dans la majorité des cas, ce qui est perçu comme un danger ne l’est pas dans le présent, et pourtant notre système nerveux autonome déclenche une réponse de survie :
– d’une part, parce que notre système nerveux autonome ne connaît que deux alternatives : danger ou sécurité ;
– d’autre part, parce que ce qui est perçu comme un indice de sécurité ou de danger par notre neuroception va dépendre de ce qui a été encodé dans nos expériences précoces et nos mémoires cellulaires, c’est-à-dire dans un autre contexte qui n’a souvent rien à voir avec notre réalité actuelle.

Les différents états du système nerveux autonome :

Notre système nerveux autonome (SNA) possède trois états : 

  • Le ventral : c’est le mode de l’engagement et du lien social, lorsqu’il se sent en sécurité ;
  • le sympathique : c’est le mode de la mobilisation (attaque ou fuite), pour répondre à un danger ;
  • le dorsal : c’est le mode du figement, de l’effondrement, quand il semble impossible d’échapper au danger.

Quand notre système nerveux autonome se trouve dans l’état de ventral, nous nous sentons en lien et en sécurité, calmes et sociables.

Une sensation de danger peut déclencher notre sortie de cet état ; nous passons dans le sympathique. Nous sommes alors mobilisés pour réagir et prendre les mesures nécessaires. Agir face au danger peut nous permettre de retourner à l’état de sécurité et de lien social.

C’est lorsque nous nous sentons piégés et incapables d’échapper au danger que le dorsal s’active. Dans cet état, nous sommes figés et immobilisés. Nous nous éteignons pour survivre. De là, le chemin pour se sentir à nouveau en sécurité et en lien peut être long et douloureux. 

Lorsque nous sommes dans le ventral, nous sommes connectés à ce que nous vivons et nous pouvons aller vers les autres. Nous pouvons nous sentir heureux, actif, intéressé et avec la vision du monde comme étant un lieu sûr, joyeux et paisible. 

Le sympathique s’active quand notre système nerveux autonome perçoit du danger. Nous passons alors en mode combat ou fuite. Nous sommes en « mouvement », en hyper vigilance, à l’affût du moindre danger. 

Quand, face à un danger, l’état sympathique ne suffit pas à faire face, nous sommes piégés et l’état dorsal nous amène à nous renfermer sur nous-mêmes, à l’effondrement et à la dissociation. Nous sommes seuls face à notre désespoir. Nous nous réfugions dans un état dans lequel nous ne ressentons rien et dans lequel nous n’existons presque plus. Nous sommes comme anesthésiés. Nous pouvons nous décrire comme étant désespérés, abandonnés, confus, trop fatigués pour penser ou agir et nous décririons le monde comme étant vide, mort et obscur. Nous nous retrouvons en mode survie

Avec cette connaissance de notre système nerveux autonome, nous pouvons mieux comprendre son rôle et ses réactions, en vue d’assurer notre sécurité et notre survie. Nous pouvons mettre de la conscience sur nos schémas de comportements. Et étant conscients de nos différents états, nous pouvons commencer à réguler notre système nerveux autonome. 

Le processus qui permet de sortir d’un état de stress (protection) à un état de sécurité (connexion) s’appelle la régulation

L’Intelligence Relationnelle®, qui s’appuie sur la Théorie Polyvagale, permet de travailler en profondeur sur le système nerveux autonome, notamment grâce à la corégulation, pour que nous puissions progresser dans notre quête de sécurité et de lien. 

« La Théorie Polyvagale nous permet de trouver le chemin pour retrouver un état naturel de sécurité et de confiance. »

La Théorie de l'attachement

« L’attachement est un instinct conduisant tout au long de la vie à avoir besoin d’être écouté, entendu, compris et soutenu par une ou plusieurs personnes considérées comme proches. » John Bowlby

Intégrer la théorie de l’attachement à sa pratique permet au thérapeute de proposer de façon explicite une expérience relationnelle où la personne accompagnée se sent suffisamment en sécurité pour lui permettre d’explorer son monde intérieur.

L’attachement, dans la théorie de l’attachement, a une signification bien différente du langage courant. « Etre attaché à quelqu’un » signifie qu’en cas de détresse, on se tourne vers cette personne pour rechercher sa proximité et à son contact, trouver sécurité, réconfort, apaisement et soutien. Ainsi, l’attachement participe à la régulation de la peur et du stress.

Le lien d’attachement constitue ainsi une dimension bien particulière des liens interpersonnels.

La théorie de l’attachement a été formalisée par le psychiatre et psychanalyste John Bowlby dans les années 1950. Il établit que l’attachement est un système génétiquement programmé, avec une base biologique, qui assure la protection du bébé parce que son autonomie n’est pas suffisante pour assurer ses besoins indispensables à la survie. La réponse à la menace et au stress est au cœur de la théorie de l’attachement. Le système d’attachement est actif tout au long de la vie.

Son principe de base est qu’un jeune enfant a besoin, pour connaître un développement social et émotionnel normal, de développer une relation d’attachement avec au moins une personne qui prend soin de lui de façon cohérente et continue (le « caregiver »).

C’est à travers les soins quotidiens qu’ils prodiguent au bébé que les parents deviennent les figures d’attachement de l’enfant. Selon les expériences vécues réellement pendant sa petite enfance, un humain se construit une vision du monde et de la relation d’aide qu’il va progressivement intérioriser sous forme de représentations des relations humaines. Quand les parents répondent avec bienveillance et attention aux besoins d’attachement des enfants, ceux-ci développent un attachement sécure ; quand les réactions des parents sont inadaptées (parents moins proches, moins accessibles, moins sensibles, moins attentifs), l’enfant peut en venir à développer des stratégies dites insécures (dans une optique d’adaptation et de survie).

Notre vécu dans l’enfance influence donc notre construction psychique et impacte notre vie d’adulte à travers nos stratégies d’attachement et nos modèles de représentation du monde.

Nos stratégies d’attachement, adaptées à notre environnement familial, se révèlent inadaptées dans les situations sociales, professionnelles, amicales et amoureuses une fois adulte. Ce sont elles qui font consulter.

Nos stratégies d’attachement peuvent évoluer à travers de nouvelles expériences relationnelles correctrices.

 

La Communication NonViolente (CNV)

Développée aux Etats-Unis dans les années 60 par Marshall Rosenberg, la CNV est un outil de communication avec soi et avec les autres. À partir de l’observation objective d’un fait, chacun est amené à prendre la responsabilité des émotions et sentiments qu’il ressent. Ce cheminement conduit à porter son attention sur les besoins nourris ou pas dans la situation vécue. Au final, il est possible d’exprimer une demande négociable à soi-même, à l’autre ou aux autres pour faire évoluer la situation.

La Communication NonViolente est un art de vivre qui nous aide à donner et à recevoir dans un esprit de bienveillance. Elle attire notre attention sur les sentiments, besoins et demandes de chaque personne, et nous garde de toute critique, jugement ou évaluation, qui sont souvent sources de malentendus.

La CNV permet la rencontre de cœur à cœur. Elle permet la prise en compte des besoins de chacun, avec respect, ce qui évite bien des conflits.

La CNV s’attache à instaurer entre les êtres humains, des relations fondées sur une coopération harmonieuse, sur le respect de soi et des autres. Elle permet de communiquer avec davantage d’authenticité.

En CNV, l’empathie constitue la base de l’approche. C’est une présence dans l’ici et maintenant pour ce qui est vivant. L’empathie est une qualité d’accueil inconditionnel de ce que vit l’autre, qui lui permet de trouver sa propre force et ses propres solutions. Dans cette manière d’appréhender la relation à l’autre, les besoins de chacun sont pris en compte. C’est pourquoi il ne peut y avoir d’empathie sans auto-empathie. Pour pouvoir accueillir l’autre, il est primordial de s’accorder de l’attention et de prendre soin de soi, de s’écouter. Cela permet de créer de l’espace à l’intérieur de soi.

Quand nous offrons sincèrement de l’empathie, nous le faisons à partir d’un endroit où nous sommes en contact avec nous-même, et dans l’acceptation et l’ouverture à tout ce qui se passe pour l’autre personne.

« L’empathie, c’est le processus qui permet au flot de la vie de circuler, de trouver son propre chemin. »